Alain, c'est super, c'est en place, il y a de vrais phrasés pas faciles travaillés, la volonté évidente de se moderniser....et la preuve qu'on peut avancer à tout moment, à tout age, a condition d'ouvrir les oreilles et d'y passer du temps...bravo
maintenant la critique....je n'entends plus the days of wine and roses, et tu vas devoir bosser sur l'integration de tes nouvelles phrases dans une vue un peu plus mélodique qui rappelle la grille et le thème, car si on ne sait pas que c'est ce morceau, il est impossible de le reconnaitre et même de réimproviser dessus.
Tu as pigé pas mal de trucs des phrasés du jazz actuel, maintenant il va falloir les inclure dans un langage plus généraliste, le démathematiser
mais tu as fait le plus gros, car c'est juste.
On a deja entendu des organistes...passer des quartes n'importe comment et n'importe ou , sans comprendre ou savoir ce qui était bon....pour faire moderne mais sans avoir rien compris au film.....Alain a pigé et les met au bon endroit, mais il ne faut pas non plus qu'il n'y ait plus que cela.
Mélange nous ça avec du mélodique et tu vas faire un carton
La classe Aalin....
Quant à l'extrait de Schpouek....je suis un peu surpis qu'il n'ait pas chatouillé vos oreilles plus que ça....moi ça m'a frappé......
l)
Tous ces gens qui n'ont pas de talent...que deviendraient ils, s'il n'existait pas tous ces gens qui n'ont pas de goût (Gilbert Cesbron)