présentation + projet "B3"
- EricW
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Ben dis-lui jusqu'au bout, que ça ressemble pas à un jeu-énigme, comme ça il saura, nous aussi on a fait connaissance un jour :
"stop-tremolo" et tout ça, c'est relatif à la vitesse de rotation des trompes (en haut, donc les aïgues) et du tambour (en bas, donc les basses) de la Leslie.
"stop" (ou parfois "brake", qui pourtant a une autre signification) = rotation arrêtée.
"chorale" (ou "slow") = rotation lente permanente
"tremolo" (ou "fast") = rotation rapide permanente
Noter aussi que la transition vers tremolo et depuis tremolo est aussi une caractéristique notable du "son Leslie".
Ca c'est la base. On pourrait en mettre des tartines et des tartines...
"stop-tremolo" et tout ça, c'est relatif à la vitesse de rotation des trompes (en haut, donc les aïgues) et du tambour (en bas, donc les basses) de la Leslie.
"stop" (ou parfois "brake", qui pourtant a une autre signification) = rotation arrêtée.
"chorale" (ou "slow") = rotation lente permanente
"tremolo" (ou "fast") = rotation rapide permanente
Noter aussi que la transition vers tremolo et depuis tremolo est aussi une caractéristique notable du "son Leslie".
Ca c'est la base. On pourrait en mettre des tartines et des tartines...
L'ex-agenda des concerts Hammond : http://hammondandco.com
- MarcGriff
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Je ne pense pas que notre ami Le TigreBleu soit aussi ignard que tu le sous entendes.
Ca s'appelle "rappeler les fondamentaux" de la "plate-forme de connaissances minimum" de la sortie du primaire d'un Hammondiste
Ca s'appelle "rappeler les fondamentaux" de la "plate-forme de connaissances minimum" de la sortie du primaire d'un Hammondiste
B3/L22, A102/L251, E300/L351, PR40 et .....
Un clone MarcGriff pilotant le NI B4 II.
Projet detaillé sur [url]http://hammondcloneorganb4.over-blog.com/[/url]
Un clone MarcGriff pilotant le NI B4 II.
Projet detaillé sur [url]http://hammondcloneorganb4.over-blog.com/[/url]
- leTigreBleu
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Un grand bonsoir à vous tous !
Merci à Marc et à Eric pour les précisions. Je dois avouer que ma connaissance du vocabulaire de la Leslie est très très maigre.
Et, quand j'ai lu "stop", j'ai pensé "organ stop", d'où ma grosse confusion.
C'est vrai que je suis intoxiqué par le schéma du B3
A bientôt sur ce forum,
Lionel
Merci à Marc et à Eric pour les précisions. Je dois avouer que ma connaissance du vocabulaire de la Leslie est très très maigre.
Et, quand j'ai lu "stop", j'ai pensé "organ stop", d'où ma grosse confusion.
C'est vrai que je suis intoxiqué par le schéma du B3
A bientôt sur ce forum,
Lionel
b3
Bienvenue et bon courage, mais tu n'as pas l'air d'en manquer!!!
Bon... A part des bravos fortissimo, j'ai qu'un truc à dire... Je pompe rien à l'anglais, et çà me crispe parce que çà a l'air de valoir le coup, ton machin!!!
Celà étant, ce n'est que la remarque d'un ignare en linguistique. Si je m'abonnais au "B3 Player", je serais bien malheureux...!!
Bon... A part des bravos fortissimo, j'ai qu'un truc à dire... Je pompe rien à l'anglais, et çà me crispe parce que çà a l'air de valoir le coup, ton machin!!!
Celà étant, ce n'est que la remarque d'un ignare en linguistique. Si je m'abonnais au "B3 Player", je serais bien malheureux...!!
- bruno micheli
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Beatrix ...oui, il me semble qu'il avait été ssayé ici par qq roufonistes sans grand succès...je n'en ai pas un souvenir imperissable par rapport au B4 mais peut etre n'y ai je pas passé assez de temps pour en tirer le meilleur..
Tous ces gens qui n'ont pas de talent...que deviendraient ils, s'il n'existait pas tous ces gens qui n'ont pas de goût (Gilbert Cesbron)
- leTigreBleu
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Bonne année à tous les roufonistes !
Goménol, rassure-toi, à chaque fois que j'ajoute des lignes sur mon site, je commente (en français) sur ce forum.
Zacharie et Bruno : oui, j'ai compilé Beatrix (j'ai une distribution Linux Gentoo, je découvre simultanément Linux), j'ai "joué" avec (à ne pas confondre avec "je joue de l'orgue", mes mains jouent comme un pied ). En clair, je l'ai essayé, je l'ai trouvé agréable, mais je n'ai pas pu retrouver le son que j'associe au B3. Il est tout à fait probable que je n'ai pas poussé assez loin le paramétrage : après tout, le concepteur du soft laisse la possibilité de configurer jusqu'aux fuites entre roues, compartiments, etc. si mes souvenirs sont exacts.
En fait, ce qui me manque le plus, maintenant, c'est un "paquet" d'enregistrements en sortie GG, afin de converger vers le B3. Je reviendrai sur ce sujet (et sur ce forum) d'ici un mois environ, le temps de régler des trucs urgents dans mon appartement. D'ici là, LASSO est en "sommeil".
A bientôt,
Lionel (leTigreBleu)
Goménol, rassure-toi, à chaque fois que j'ajoute des lignes sur mon site, je commente (en français) sur ce forum.
Zacharie et Bruno : oui, j'ai compilé Beatrix (j'ai une distribution Linux Gentoo, je découvre simultanément Linux), j'ai "joué" avec (à ne pas confondre avec "je joue de l'orgue", mes mains jouent comme un pied ). En clair, je l'ai essayé, je l'ai trouvé agréable, mais je n'ai pas pu retrouver le son que j'associe au B3. Il est tout à fait probable que je n'ai pas poussé assez loin le paramétrage : après tout, le concepteur du soft laisse la possibilité de configurer jusqu'aux fuites entre roues, compartiments, etc. si mes souvenirs sont exacts.
En fait, ce qui me manque le plus, maintenant, c'est un "paquet" d'enregistrements en sortie GG, afin de converger vers le B3. Je reviendrai sur ce sujet (et sur ce forum) d'ici un mois environ, le temps de régler des trucs urgents dans mon appartement. D'ici là, LASSO est en "sommeil".
A bientôt,
Lionel (leTigreBleu)
- leTigreBleu
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Bonjour bonjour !
Suite à mon dernier message, voici comment je pense poursuivre l'aventure de mon émulateur de son "B3".
Les premiers sons que vous avez pu entendre sur mon site web sont uniquement basés :
- sur les caractéristiques mécaniques des roues phoniques (nombre de dents, vitesse de rotation) ;
- sur une première approximation de la fonction de transfert de l'électronique à tube(s), depuis les générateurs, jusqu'au point GG.
- sur une approximation du "tapering", cette atténuation de chaque roue phonique pour chaque drawbar et pour chaque touche (basée sur diverses sources, dont http://www.keyboardpartner.de/hammond/techinfo.htm)
- sur une approximation de l'électronique de la percussion.
Visiblement (c'est une façon de parler !) ça ne sonne pas comme un B3.
La suite consiste à effectuer des enregistrements en GG sur un vrai B3. Plus précisément, voici ce que je compte faire, et pourquoi :
1. Enregistrer le son en GG pour chaque touche (61) durant environ 5 secondes, pour un drawbar à 8, tous les autres étant à 0.
Intérêts :
- avoir le tapering d'un véritable orgue (méthode au choix : amplitude maximale du signal, calcul RMS, ou FFT) ;
- avoir les attaques (en temporel) et tenter d'en sortir un modèle utilisable en temps réel ;
- avoir une bonne idée du contenu spectral en sortie GG (savoir répondre à la question : en plus du sinus, qu'est-ce qu'il y a pour une seule note, en sortie GG ?) ;
- méthode : FFT ;
- limite : ça ne permet pas de séparer la contribution de l'électronique de celle du générateur à roue phonique.
Ca fait, à la louche, environ 7 minutes par drawbar (5*61+le temps pour relâcher la touche), soit 7*9 minutes pour l'ensemble.
Mais un seul drawbar (7 minutes) est déjà très riche d'enseignements, ne serait-ce que pour valider la méthode.
2. Enregistrer, toujours avec 1 drawbar à 8 et tout le reste à 0, deux touches enfoncées simultanément (deux fréquences f1 et f2), durant environ 20 secondes.
Intérêt :
- après analyse spectrale par FFT, voir si je retrouve autre chose dans le spectre que les 2f2-f1 et 2f1-f2 auxquelles je m'attends, donc "sentir" si les générateurs sont proches du sinus ou pas. (note : ça suppose que seule la distorsion d'ordre 3 est notable, donc que celle d'ordre 2 est très faible, ce qui sera vérifié -- ou non -- à l'étape 1).
Le faire pour quatre ou cinq combinaisons réparties sur tout le clavier, pour un seul drawbar. Durée totale : 1 à 2 minutes. (4 x 20s # 1mn 20s)
3. Enregistrer une même note (exemple : au centre du clavier), pour un drawbar donné (exemple : 001), avec le drawbar à 1, puis à 2, puis à 3, et ce, jusqu'à 8. Laisser environ 5 secondes par position de drawbar.
Durée : environ 1 minute.
Intérêt : retrouver le gain équivalent pour les différentes positions du drawbar.
4. Enregistrer, en drawbar tout à 0, et en percussion ON, la sortie GG pour chaque touche, durant environ 4 secondes (à ajuster en fonction de la durée de la percussion).
Intérêts :
- avoir la véritable réponse en amplitude de la percussion ;
Penser à enregistrer, avec le même réglage de percussion, quelques notes (1 par octave) en drawbar 008, pour pouvoir recaler l'amplitude de la percussion par rapport à celle de la note soutenue.
Durée totale : 10 minutes en changeant le réglage de la percussion, sans passer par toutes les touches.
5. Pour un drawbar 008, enregistrer une vingtaine de secondes d'une note soutenue avec vibrato ou chorus.
Intérêt :
- analyse spectrale du signal pour estimer de combien le vibrato du B3 s'éloigne du modèle "simple" (modulation de la phase). Lorsque j'aurai un modèle plus proche de l'électronique du vibrato, cela devrait me permettre de recaler les paramètres du modèle sur une source authentique. A première vue, après simulations, la "ligne à retard" du vibrato du B3 apporte du déphasage (logique) et des variations d'amplitude (moins logique, vu l'effet recherché).
Penser à effectuer deux ou trois enregistrement à différentes fréquences fondamentales, afin de se placer aussi dans le cas où la ligne à retard modifie le plus l'amplitude, soit en hautes fréquences (vers 4000 à 6000 Hz).
Durée : deux à trois minutes.
===============================================
===============================================
Je lance donc un appel aux possesseurs de véritables B3 : y a-t-il quelqu'un qui voudrait bien effectuer ces enregistrements (signal monophonique, échantillonné à 44100 Hz ou plus haut, sur 16 bits) ? Alternative : je peux me déplacer si un roufoniste me propose d'accéder à son B3 pour effectuer les enregistrements correspondants aux étapes 1 à 4 (de préférence dans le 78, ou en région parisienne, car j'habite Montigny le Bx).
Les données ainsi numérisées pourraient être placées sur le site du bistrot, via le dépôt de fichiers.
Je pense que ces données pourraient aussi servir aux possesseurs de clones, pour régler leurs machines afin qu'elles sonnent un peu plus comme un B3.
Dites-moi ce que vous en pensez, sachant que l'étape 1 est la plus importante. Elle peut d'ailleurs être réduite à 1 enregistrement de 7 minutes (61 notes pour 1 drawbar) afin de valider le concept d'exploitation et d'analyse du signal.
Lionel (leTigreBleu)
PS : comme annoncé dans mon premier post, c'est un projet de longue haleine. Il avance par à-coups, mais il avance sûrement. Je n'ai pas encore de date de fin, cela dépendra, en fait, de mon degré de satisfaction de l'émulation obtenue.
Suite à mon dernier message, voici comment je pense poursuivre l'aventure de mon émulateur de son "B3".
Les premiers sons que vous avez pu entendre sur mon site web sont uniquement basés :
- sur les caractéristiques mécaniques des roues phoniques (nombre de dents, vitesse de rotation) ;
- sur une première approximation de la fonction de transfert de l'électronique à tube(s), depuis les générateurs, jusqu'au point GG.
- sur une approximation du "tapering", cette atténuation de chaque roue phonique pour chaque drawbar et pour chaque touche (basée sur diverses sources, dont http://www.keyboardpartner.de/hammond/techinfo.htm)
- sur une approximation de l'électronique de la percussion.
Visiblement (c'est une façon de parler !) ça ne sonne pas comme un B3.
La suite consiste à effectuer des enregistrements en GG sur un vrai B3. Plus précisément, voici ce que je compte faire, et pourquoi :
1. Enregistrer le son en GG pour chaque touche (61) durant environ 5 secondes, pour un drawbar à 8, tous les autres étant à 0.
Intérêts :
- avoir le tapering d'un véritable orgue (méthode au choix : amplitude maximale du signal, calcul RMS, ou FFT) ;
- avoir les attaques (en temporel) et tenter d'en sortir un modèle utilisable en temps réel ;
- avoir une bonne idée du contenu spectral en sortie GG (savoir répondre à la question : en plus du sinus, qu'est-ce qu'il y a pour une seule note, en sortie GG ?) ;
- méthode : FFT ;
- limite : ça ne permet pas de séparer la contribution de l'électronique de celle du générateur à roue phonique.
Ca fait, à la louche, environ 7 minutes par drawbar (5*61+le temps pour relâcher la touche), soit 7*9 minutes pour l'ensemble.
Mais un seul drawbar (7 minutes) est déjà très riche d'enseignements, ne serait-ce que pour valider la méthode.
2. Enregistrer, toujours avec 1 drawbar à 8 et tout le reste à 0, deux touches enfoncées simultanément (deux fréquences f1 et f2), durant environ 20 secondes.
Intérêt :
- après analyse spectrale par FFT, voir si je retrouve autre chose dans le spectre que les 2f2-f1 et 2f1-f2 auxquelles je m'attends, donc "sentir" si les générateurs sont proches du sinus ou pas. (note : ça suppose que seule la distorsion d'ordre 3 est notable, donc que celle d'ordre 2 est très faible, ce qui sera vérifié -- ou non -- à l'étape 1).
Le faire pour quatre ou cinq combinaisons réparties sur tout le clavier, pour un seul drawbar. Durée totale : 1 à 2 minutes. (4 x 20s # 1mn 20s)
3. Enregistrer une même note (exemple : au centre du clavier), pour un drawbar donné (exemple : 001), avec le drawbar à 1, puis à 2, puis à 3, et ce, jusqu'à 8. Laisser environ 5 secondes par position de drawbar.
Durée : environ 1 minute.
Intérêt : retrouver le gain équivalent pour les différentes positions du drawbar.
4. Enregistrer, en drawbar tout à 0, et en percussion ON, la sortie GG pour chaque touche, durant environ 4 secondes (à ajuster en fonction de la durée de la percussion).
Intérêts :
- avoir la véritable réponse en amplitude de la percussion ;
Penser à enregistrer, avec le même réglage de percussion, quelques notes (1 par octave) en drawbar 008, pour pouvoir recaler l'amplitude de la percussion par rapport à celle de la note soutenue.
Durée totale : 10 minutes en changeant le réglage de la percussion, sans passer par toutes les touches.
5. Pour un drawbar 008, enregistrer une vingtaine de secondes d'une note soutenue avec vibrato ou chorus.
Intérêt :
- analyse spectrale du signal pour estimer de combien le vibrato du B3 s'éloigne du modèle "simple" (modulation de la phase). Lorsque j'aurai un modèle plus proche de l'électronique du vibrato, cela devrait me permettre de recaler les paramètres du modèle sur une source authentique. A première vue, après simulations, la "ligne à retard" du vibrato du B3 apporte du déphasage (logique) et des variations d'amplitude (moins logique, vu l'effet recherché).
Penser à effectuer deux ou trois enregistrement à différentes fréquences fondamentales, afin de se placer aussi dans le cas où la ligne à retard modifie le plus l'amplitude, soit en hautes fréquences (vers 4000 à 6000 Hz).
Durée : deux à trois minutes.
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Je lance donc un appel aux possesseurs de véritables B3 : y a-t-il quelqu'un qui voudrait bien effectuer ces enregistrements (signal monophonique, échantillonné à 44100 Hz ou plus haut, sur 16 bits) ? Alternative : je peux me déplacer si un roufoniste me propose d'accéder à son B3 pour effectuer les enregistrements correspondants aux étapes 1 à 4 (de préférence dans le 78, ou en région parisienne, car j'habite Montigny le Bx).
Les données ainsi numérisées pourraient être placées sur le site du bistrot, via le dépôt de fichiers.
Je pense que ces données pourraient aussi servir aux possesseurs de clones, pour régler leurs machines afin qu'elles sonnent un peu plus comme un B3.
Dites-moi ce que vous en pensez, sachant que l'étape 1 est la plus importante. Elle peut d'ailleurs être réduite à 1 enregistrement de 7 minutes (61 notes pour 1 drawbar) afin de valider le concept d'exploitation et d'analyse du signal.
Lionel (leTigreBleu)
PS : comme annoncé dans mon premier post, c'est un projet de longue haleine. Il avance par à-coups, mais il avance sûrement. Je n'ai pas encore de date de fin, cela dépendra, en fait, de mon degré de satisfaction de l'émulation obtenue.
- leTigreBleu
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- Enregistré le : mar. oct. 17, 2006 7:54 pm
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Bonsoir,
Un roufoniste sympathique vient de m'envoyer les échantillons de B3. A première écoute, là ou je m'attendais à un sinus pur, il y a du monde !
Une très rapide analyse harmonique montre que le sinus n'est pas tout seul, et je vois des signaux entre -20 et -30 dB, donc parfaitement audibles.
Je vais me lancer dans la fabrication de routines d'analyse des signaux enregistrés, histoire de comprendre un peu plus le B3. Dès que j'ai des résultats d'analyse, je me manifeste.
En attendant, venant d'être inondé par l'appartement du dessus, mon activité actuelle consiste plus à sauver un maximum de choses, que de traiter du signal. Mais je reprendrai.
Lionel (leTigreBleu)
Un roufoniste sympathique vient de m'envoyer les échantillons de B3. A première écoute, là ou je m'attendais à un sinus pur, il y a du monde !
Une très rapide analyse harmonique montre que le sinus n'est pas tout seul, et je vois des signaux entre -20 et -30 dB, donc parfaitement audibles.
Je vais me lancer dans la fabrication de routines d'analyse des signaux enregistrés, histoire de comprendre un peu plus le B3. Dès que j'ai des résultats d'analyse, je me manifeste.
En attendant, venant d'être inondé par l'appartement du dessus, mon activité actuelle consiste plus à sauver un maximum de choses, que de traiter du signal. Mais je reprendrai.
Lionel (leTigreBleu)
- leTigreBleu
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- Enregistré le : mar. oct. 17, 2006 7:54 pm
- Localisation : Montigny Le Bx, France
- Contact :
Bonjour,
Après environ deux ans de silence (et un nouveau roman, les plus curieux peuvent même le télécharger) je reviens avec une interrogation.
J'ai analysé avec différents outils des notes (un LA à 440 Hz, un LA à 880 Hz) et je constate que le 440 Hz est en fait à 441,8 Hz. Vous me direz : c'est presque 440 ! Mais, d'après la construction du B3 (moteur synchrone, donc parfaitement calé en fréquence) il ne devrait y avoir aucun décalage. Le 440 devrait être exactement à 440 ! Il est issu des 1200 tours par minutes, et des pignons avec 88 et 64 dents, avec un multiplieur par 16 : (1200/60)*88/64*16=440.
Un rapide calcul me montre que ce ne peut être une erreur de fréquence d'échantillonnage : cela correspondrait à plus de 0.4 pour cent d'erreur, ce qui me semble impossible avec un quartz (100 ppm soit 0.01% serait déjà énorme comme erreur pour un quartz).
Questions :
- Mes calculs se basent sur un B3 des USA avec un moteur alimenté par du 60 Hz. Comment le B3 fonctionne-t-il en France, où on a 50 Hz ?
- avez-vous constaté un décalage d'environ 1 Hz entre votre LA 440 de B3 et un autre instrument, par exemple un synthétiseur numérique ? A l'oreille, cela doit produire comme un battement lent de l'ordre de la seconde, donc parfaitement audible.
Pourquoi je m'arrête à un tel détail ? Simplement, car toute mon analyse repose sur l'hypothèse que les fréquences du tonewheel sont connues, et donc, que les raies spectrales que je vois sont soit des harmoniques, soient des fuites. Mais si le LA à 440 n'est pas à la bonne fréquence, il faut que je reprenne l'analyse.
Lionel
P.-S. Sur ma page web http://lionel.cordesses.free.fr/lassoMain.html il ya les spectres et les commentaires correspondants, en français et en anglais.
Après environ deux ans de silence (et un nouveau roman, les plus curieux peuvent même le télécharger) je reviens avec une interrogation.
J'ai analysé avec différents outils des notes (un LA à 440 Hz, un LA à 880 Hz) et je constate que le 440 Hz est en fait à 441,8 Hz. Vous me direz : c'est presque 440 ! Mais, d'après la construction du B3 (moteur synchrone, donc parfaitement calé en fréquence) il ne devrait y avoir aucun décalage. Le 440 devrait être exactement à 440 ! Il est issu des 1200 tours par minutes, et des pignons avec 88 et 64 dents, avec un multiplieur par 16 : (1200/60)*88/64*16=440.
Un rapide calcul me montre que ce ne peut être une erreur de fréquence d'échantillonnage : cela correspondrait à plus de 0.4 pour cent d'erreur, ce qui me semble impossible avec un quartz (100 ppm soit 0.01% serait déjà énorme comme erreur pour un quartz).
Questions :
- Mes calculs se basent sur un B3 des USA avec un moteur alimenté par du 60 Hz. Comment le B3 fonctionne-t-il en France, où on a 50 Hz ?
- avez-vous constaté un décalage d'environ 1 Hz entre votre LA 440 de B3 et un autre instrument, par exemple un synthétiseur numérique ? A l'oreille, cela doit produire comme un battement lent de l'ordre de la seconde, donc parfaitement audible.
Pourquoi je m'arrête à un tel détail ? Simplement, car toute mon analyse repose sur l'hypothèse que les fréquences du tonewheel sont connues, et donc, que les raies spectrales que je vois sont soit des harmoniques, soient des fuites. Mais si le LA à 440 n'est pas à la bonne fréquence, il faut que je reprenne l'analyse.
Lionel
P.-S. Sur ma page web http://lionel.cordesses.free.fr/lassoMain.html il ya les spectres et les commentaires correspondants, en français et en anglais.
Bonsoir,
Peu être du au tempérament du clavier, des élément de réponse ici:
http://www.unbonweekend.com/fr/SynthAdd.html
Peu être du au tempérament du clavier, des élément de réponse ici:
http://www.unbonweekend.com/fr/SynthAdd.html
On ne dit pas "tige" mais "axe d'entrainement" - Eric W